PERRY RHODAN n° 188
L'Humanité au crépuscule
 
Cycle
Les Cappins
 
Traduction
Jean-Michel Archaimbault - Michel Vannereux - Jean-Marc Gasser
 
Edition originale
Fleuve Noir Perry Rhodan n° 188
 
Parution
2004
   
    PREMIÈRE PARTIE
    PROJET LAURIN

    Neuf cent quatre-vingt-treize ans ont passé depuis la fin des Ulebs. De nombreuses colonies se sont séparées de l’Empire Solaire et de nouvelles puissances se sont formées dont les principales sont la Coalition de Carsual, l’Impérium de Dabrifa et l’Union Central-Galactique. Des drames sont survenus entre-temps : la Milice des Mutants a été décimée lors de la crise de la Seconde Genèse et les mutants ne sont plus que quatre : L’Émir, Fellmer Lloyd, Ras Tschubaï et Ivan Ivanovitch Goratchine. De plus, lors de l’insurrection des Panithers en 2931, Perry Rhodan a perdu sa femme et sa fille.

    En septembre 3430, des rayonnements inexpliqués sont décelés au fond de la fosse sous-marine des Tonga. S’attendant à la découverte d’une nouvelle ville lémurienne, Galbraith Deighton, le nouveau chef de la Défense Solaire, descend voir en personne. À sa grande stupéfaction, il s’avère que l’installation date de deux cent mille ans, donc de bien avant les Lémuriens. Le corps d’un Néandertalien est découvert en état d’hibernation biophysique. Il est emmené avant qu’une éruption volcanique ne détruise la base. Le géant velu est baptisé Lord Zi-Èvuss, d’après ses premières paroles prononcées. Plus tard, des images issues de son subconscient montrent qu’il a été emmené dans la station par des humanoïdes inconnus.

    Perry Rhodan, en visite sur la planète Taura, échappe de justesse à un attentat. Depuis quelque temps, il a avec lui Whisper, une créature affectant la forme d’un voile et augmentant ses facultés sensorielles.

    Sur Nosmo, le monde central de l’Impérium de Dabrifa, a lieu une réunion entre les représentants des Puissances Alliées : la Coalition de Carsual, l’Impérium de Dabrifa et l’Union Central-Galactique. L’O.M.U. assiste l’organisation clandestine Khonan-Tap. Deux espions sigans partent espionner les conversations entre dictateurs qui portent sur un assaut contre le Système Solaire. Ils apprennent ainsi que la date fixée est le 30 octobre 3430.

    Tout juste réélu Stellarque pour six ans, Perry Rhodan peut enfin préparer la parade. Le Plan Laurin va entrer en action. Pour éviter un bain de sang, un écran doit englober la totalité du Système Solaire et le déphaser de cinq minutes dans l’avenir : le champ de confluence antitemporelle. Au moment où les flottes ennemies arrivent, l’opération est déclenchée. Tout le système disparaît tandis que les Forteresses Leucocytes sacrifiées explosent, donnant l’impression aux yeux de tous que le Système Solaire n’existe plus.



    DEUXIÈME PARTIE
    ASSISTANCE ATYPIQUE

    Nouvelle : « Ein seltsamer Helfer » (K.H. Scheer), in Jubiläumsband 7 (1986)

    En 3429, le Movret, un cargo contenant de l’howalgonium H.F.A. destiné au Plan Laurin, a été piraté par son commandant et amené sur le monde franc Lepso. Pour récupérer la marchandise, Atlan et Perry Rhodan sont contraints de faire appel à Ratber Tostan, un ancien agent de l’O.M.U. déchu qui se livre à divers trafics sur la planète.

    Tostan apprend que le commandant du Movret a été retrouvé mort sur la planète. Un suspect, Vogos Ramtoff, a été arrêté mais il s’avère vite qu’il n’est pas responsable du meurtre bien qu’il ait été complice du vol. Il conduit Ratber Tostan jusqu’à l’emplacement de la marchandise, dans un astroport désaffecté. Là, Ramtoff est assassiné par un agent de Dabrifa, le propre garde du corps de Ratber Tostan. Le howalgonium H.F.A. est récupéré et, grâce à lui, le champ de confluence antitemporelle pourra être établi.



    TROISIÈME PARTIE
    A L'ASSAUT DU COSMOS

    En 2401, des Terraniens ont colonisé Conyers, la lune de la planète Firmer, dans le système de Sapa, à 19 316 années-lumière de la Terre. Au fil du temps et suite à une guerre atomique, ils ont perdu tout souvenir de leur origine et ont régressé technologiquement. Ils sont à présent sur le point d’envoyer une fusée sur la planète Firmer que certains supposent être leur monde d’origine. Malgré une certaine opposition, le Vanguard finit par décoller.

    Quand ils arrivent en orbite, ils captent à leur grande stupéfaction des impulsions radar en surface de Firmer. Ils ignorent l’ordre de retour qui leur est donné depuis Conyers suite à un bouleversement politique et une navette se détache de la fusée. Elle se pose mais le contact est rompu avec le Vanguard. Il s’avère bientôt que la fusée a été détruite. Au moment de redécoller, la navette explose. Il ne reste plus que deux survivants : Lytton Addis et Flaman Sûrya. Ils commencent à se demander si une autre race ne serait pas à l’œuvre.

    Ils se dirigent vers l’endroit où ils supposent une base ennemie et finissent par être capturés par des êtres leur ressemblant. Il s’agit en fait de Dabrifans qui se sont établis là dans le but d’annexer Conyers. Sous les ordres de Staebler-Bleer, neveu de l’Imperator, ils veulent employer un radiant crétinisant pour faciliter leur travail.

    Alors qu’ils s’apprêtent à faire usage de l’arme sur les deux captifs, l’Intersolaire, la nouvelle nef amirale de Perry Rhodan, apparaît dans le système. Les Dafrifans prennent la fuite, abandonnant leur commandant sur place. Celui-ci tire sur leur vaisseau avec le radiant crétinisant et l’engin s’écrase dans le soleil. Quand le navire terranien se pose, Staebler-Bleer tente de se faire passer pour un Saparien mais il est démasqué par Fellmer Lloyd.

    L’Intersolaire se pose sur Conyers, ce qui entraîne un chamboulement politique. Staebler-Bleer est remis aux Sapariens pour rééducation psychologique et Sûrya devient le Délégué du Peuple de Conyers.



    QUATRIÈME PARTIE
    NOTRE VILLE DE TERRANIA

    Article : « Unsere Stadt Terrania » (Rainer Castor), in Perry Rhodan Jahrbuch (1998)

    Histoire de la ville de Terrania de ses origines à 3430.

FASCICULES ORIGINAUX

400
Menschheit im Zwielicht K.H. Scheer 1969
401
Aufbruch ins All William Voltz 1969





© Michel Vannereux