cycle 42 : Mythes
FASCICULE PERRY RHODAN n° 3074
 
Der imaginäre Imperator
L'Empereur imaginaire
 
Auteur : Uwe Anton
Année de parution : 2020
 

Les Ladhones se sont emparés de six stations d’étape akonides qu’ils ont disposées près de la Sphère de Plomb. Une flotte de vaisseaux ladhones et naats les protègent face à une flotte arkonide. Tous les croiseurs de l’Empire d’Airain se sont retirés en périphérie de Thantur-Lok.

Le 18 juin 2046 NDG, le responsable de la flotte arkonide, Markul agh Fermi, voit depuis son vaisseau amiral, le Tarts, l’arrivée de nouveaux vaisseaux, dont le Bailnood dont l’équipage se compose de Naats et de Maalites. Dancer et Narco, déguisés en Maalites, se téléportent à bord avec le Tara-Psi.

Ils apprennent que le Bailnood est équipé d’un nouveau type de propulseur et d’une positronique spéciale dont s’occupe le Shenpadri Shonopord. Cet équipement doit permettre de s’infiltrer dans les impulsions de transmission d’une station d’étape et de pénétrer dans la Sphère de Plomb. Ce que fait le Bailnood.

À l’intérieur il semble ne plus exister de planète. Il y a d’innombrables courts de tennis ou des projections de l’empereur Tormanac da Hozarius jouent entre elles. Sur l’un d’eux, Dancer et Narco parlent à Tormanac-1331. L’original, ou du moins sa conscience, est dans le vaisseau imaginaire Ghlesduul.

Tormanac-1331 explique que l’Empire d’Airain a réussi à transférer des données dans la Sphère de Plomb où le temps s’écoule dix fois plus vite. Ils ont découvert un univers-miroir situé « derrière » la Sphère de Plomb. Tormanac da Hozarius voudrait y transférer l’Empire d’Airain car la Voie Lactée est devenue peu sûre.

Dancer, Narco et le Tara-Psi apprennent que le monde virtuel de l'Empire d'Airain ne repose pas sur des positroniques habituelles, mais utilise le trou noir Zarak'Tussan. Il est ainsi protégé du posicide. Un transfert se prépare.

Le Tara-Psi téléporte Dancer et Narco sur le Bailnood qui est rejeté de la Sphère de Plomb et détruit. Le Tara-Psi amène à temps ses compagnons dans le vide.
 


© Michel Vannereux