cycle 34 : Terranova
FASCICULE PERRY RHODAN n° 2358
 
Pilot der Chaotarchen
Le pilote des Chaotarques
 
Auteur : Leo Lukas
Année de parution : 2006
 

Quand l'angoisse de la mort que Kirmizz a éprouvée face aux Hauri s’estompe, ses souvenirs du passé menacent de se perdre à nouveau. Il cherche alors une victime qu'il peut influencer mentalement. Son choix se porte sur Sgisg Rotker, une créature en forme d'amibe qui gagne sa vie en dressant des montures de course. Kirmizz se fait torturer par Sgisg avec une machine de torture et se souvient en raison des douleurs terribles de tous les détails de son origine.

Kirmizz, un être artificiel, a été formé dans la XIXème Cosmoversité. La Cosmoversité a rencontré des difficultés après la fuite de son élève précédent Gon-Orbhon et a changé de camp. Par ordre du Chaotarque Xrayn, elle crée Kirmizz en enlevant à la XXème Cosmoversité le corps de l'élève Untha Myrrh et en effaçant ses souvenirs. Elle s'épargne ainsi le temps d'élever une créature tout à fait nouvelle. Pendant son éducation, Kirmizz a un contact avec le reste de la conscience de Myrrh, qui devient son conseiller. Quelque temps plus tard, Kirmizz rencontre le deuxième occupant de la Cosmoversité, Faro Nuun Jasper qui préfère se faire appeler FNJ. Les deux s'allient et terminent leur enseignement en commun.

Finalement, Kirmizz et FNJ qui maîtrisent chacun un pouvoir différent deviennent des ennemis mortels. La Cosmoversité veut les séparer mais ils cherchent la confrontation. FNJ semble vaincre, mais la Cosmoversité a manipulé les systèmes d'armement de son vaisseau spatial si bien que Kirmizz le tue. La formation du futur pilote des Chaotarques n’est pas encore achevée, mais maintenant, la Cosmoversité peut s'y consacrer entièrement. Finalement, Kirmizz se met en route pour Hangay avec son vaisseau, le BANDA SARI. C’est là qu’un accident se produit et qu’il échoue sur Hallie-Loght.

Kirmizz est à nouveau lui-même. Son prochain but consiste à trouver le BANDA SARI. Avant d’y aller, il attache Sgisg à sa propre machine de tortures.
 


© Michel Vannereux