FASCICULE PERRY RHODAN n° 2152
 
Der Markt der Ito
Le marché des Ito
 
Auteur : Horst Hoffmann
Année de parution : 2002
 

Benjameen da Jacinta, Tess Qumisha, Grek-665 ½ et l’éléphant Norman ont fui par transmetteur jusqu’à la lune Tra-Ito, toujours dans le système de Trapitz. Là, les Ito arachnoïdes dirigent un gigantesque marché aux esclaves. Les Galactiques se retrouvent en pleine révolte matée brutalement par les forces de police valentes. Le petit groupe éveille un intérêt insoupçonné. Les Méthaniens sont des esclaves recherchés pour l’exploitation minière sur certaines planètes. Les Ito s’intéressent de ce fait énormément à Grek-665 ½. Un voleur leur vient en aide incognito, la Panthère Blanche, qui a été autrefois aidé par des Hijthi, un peuple humanoïde – pour lesquels Tess et Benjameen se font passer.

Tess s’introduit dans le réseau informatique des Ito et découvre que Trapitz est un système secret des Valentes, où se trouvent des mondes plus ou moins accessibles comme Tra-Ito mais aussi des planètes strictement interdites, comme le monde franc Celona, un important centre financier. Les Galactiques décident de s’y rendre. Il leur faut toutefois des papiers. Benjameen trouve en transe onirique le capitaine d’un cargo qui doit bientôt s’y rendre. Ils le rencontrent et le marchand accepte de les embarquer moyennent finance. Il leur procure des visas.

Quand ils reviennent dans leur appartement, ils découvrent que celui-ci a été attaqué. Norman est paralysé et le Maahk a été enlevé. Un enregistrement leur montre le raid ainsi qu’un être à la peau blanche qui leur annonce vouloir libérer la victime.

Benjameen et Tess se rendent au bâtiment central des Ito. Tess sabote les installations d’énergie. Les systèmes de sécurité bloquant les esclaves tombent en panne et ceux-ci prennent la fuite. Ils retrouvent Grek-665 ½ mais des Ito et des Valentes les arrêtent. L’intervention in extremis de la Panthère Blanche les sauve. Ils se rendent ensuite sur Celona, non avec le cargo mais par transmetteur grâce aux visas obtenus.
 


© Michel Vannereux