cycle 27 : Les Tolkandiens
FASCICULE PERRY RHODAN n° 1809
 
Hetzjagd durch den Hyperraum
Poursuite à travers l'hyperespace
 
Auteur : Horst Hoffmann
Année de parution : 1996
 

Hermon d’Ariga est prisonnier sur la planète pénitentiaire arkonide Trankun. Il était le chef d’un mouvement de résistance contre le régime de l’Empire de Cristal. Lors d’une tentative d’évasion, un commando de l’Iprasa vient à son aide. 160 autres prisonniers politiques sont libérés. La plupart rentrent au service de l’organisation résistante. Atlan l’a fondée à l’image de la légendaire O.M.U.. De nombreux anciens dépôts et bases ont été réactivés. Atlan offre à Hermon d’Ariga le poste de chef de tir sur le RICO. Le jeune Arkonide accepte.

L’immortel part pour le Système Solaire à la périphérie duquel attend toujours le GILGAMESH. Atlan apprend la disparition de Rhodan, l’apparition de Kummerog et sa fuite. Il entend aussi parler de l’explosion du PRETTY PLAID et de l’apparition d’un vaisseau étranger. Le GILGAMESH se rend sur les lieux de l’explosion. Il ne trouve qu’une barge de la L.L.T. embarquant les restes du croiseur. Il n’y a aucun survivant. Atlan demande à Myles Kantor d’utiliser le résonateur hyperspatial pour trouver où est le vaisseau étranger. Les tentatives sont vaines mais des vaisseaux étrangers sont bientôt annoncés partout dans la galaxie.

Le GILGAMESH suit un appel de détresse émanant du système de Moron et tombe sur une petite flotte de la L.L.T. encerclant à distance respectable un des vaisseaux étrangers. Quand la nef-hérisson commence à atterrir sur la colonie, Atlan donne l’ordre de tirer. Le RICO parvient à empêcher l’atterrissage. Le vaisseau attaque le RICO avec l’effet baptisé brouillage avant de disparaître. Atlan décide de le poursuivre.

Le RICO le retrouve et après un long combat, le vaisseau étranger est immobilisé. Il explose avant qu’un commando conduit par Atlan ait pu s’introduire à bord. Atlan emporte l’épave qu’il fait fixer à la coque du RICO. Le RICO doit fuir devant d’autres nefs-hérissons.
 


© Michel Vannereux