cycle 25
: Les Ayindis
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FASCICULE
PERRY RHODAN n° 1705
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Sur Thyssan, Reginald Bull donne aux créatures cristallines le nom de Squelettiques. La forme et la couleur d’une grande partie des cristaux couvrant la planète ne correspond pas à leur composition chimique. Une grotte est découverte dans un endroit libre de tout cristal. Elle mène à des installations souterraines. Les restes d’appareils techniques montrent que des Ayindi et des humanoïdes ont séjourné sur Thyssan avant que la planète ne soit recouverte par les cristaux.
Le médecin arra Magkue découvre qu’une mystérieuse maladie se répand parmi les naufragés. Elle commence avec des difficultés de mouvement dues à de courtes perturbations neurales. Par la suite, des organes importants tombent malades. Bull, Michael Rhodan et L’Émir cachent à leurs compagnons qu’ils ne sont pas touchés par la mystérieuse maladie, baptisée peste de Thyssan. Les premières victimes meurent quarante-cinq jours après l’arrivée de l’ODIN dans l’Arresum. L’ATLANTIS atteint alors Thyssan. Bien que le monde de cristal soit bloqué par douze Flocons, le vaisseau arkonide réussit à atterrir. Les rares survivants, les victimes de la pseudo-peste de Thyssan et les corps des victimes du naufrage conservés dans des chambres froides sont amenés dans l’ATLANTIS. L’épave de l’ODIN est détruite. Seul le spécialiste en détection Boro Shufman reste introuvable. Il avait vu un cristal parfait avec la structure d’un Flocon apparaître dans une aura rouge sombre avant de disparaître dans un tourbillon d’énergie. Avant la mort de Magkue, le dernier survivant de l’ODIN, L’Émir perçoit des pensées de calculs quintidimensionnels et le terme vie dénaturée. L’ATLANTIS retrouve le STYX à la limite de l’Abruse le 23 décembre 1216 et atteint enfin le FONDATION le 30 décembre. Les Galactes utilisent une courte trêve des combats dans le système de Daffish le 31 décembre pour livrer à l’espace les cinq cents cercueils. Tandis qu’ils s’enflamment dans l’atmosphère de Noman, le Dragon Nosrein pense, affligé, que les visites des étrangers ont divisé ses congénères en groupes rivaux et éveillé en eux la violence. L’énergie absorbée par les Dragons a pris un goût étranger. |
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© Michel Vannereux |