cycle 22 : Les Linguides
FASCICULE PERRY RHODAN n° 1561
 
Der Uberfall
L'attaque
 
Auteur : H.G. Ewers
Année de parution : 1991
 

Durant le vol vers le GUUR-E-RAHK, la Gazelle de Perry Rhodan est rejetée de l’hyperespace près d’un trou noir. Rhodan et ses compagnons découvrent dans une épave le Dowlurien Sayator. Il les attaque aussitôt, les prenant pour des alliés des Prizappas qui ont attiré ici son vaisseau. Des robots sortis de l’hyperespace l’ont attaqué. Les Dawluriens recherchent de nouvelles colonies. Leur faculté de voir quelques secondes dans le futur les a repoussé de leur galaxie Ogramegra. Sayator, le dernier survivant, infirme la supposition de Rhodan quant au rapport des Daluriens avec les Généraux puis meurt. La Gazelle atteint finalement le GUUR-E-RAHK.

Le FONDATION se cache dans les parages du trou noir Alingujin sur les indications de Ler-O-San. L’astronome Ischgur Legreldi et l’ézialiste Chosel Achberad sont envoyés avec une corvette pour étudier le pulsar Oldie. Quand les deux hommes atterrissent sur Single, la seule planète de l’étoile à neutrons, avec le Florfaune Poshosh, une plante animale de Shint’oong, ils découvrent un antique musée. Legreldi prend neuf objets qu’il tient pour des œufs.

Le GUUR-E-RAHK arrive sur le monde topar Intrappa, la huitième planète du soleil Mirjavar. Per-E-Kit demande à Perry Rhodan de remettre Gorukule au Topar comme otage. L’intermédiaire, revenu sur le FONDATION pour l’amener à se rendre sur la planète, appartient aux sept principaux Prizappas. Le Topar compte attaquer Prizza, la planète du Prizappa et la rendre inutilisable pour les batraciens qui se donnent comme les principaux alliés du Protecteur. Ils ont donné son nom à la galaxie et développé la forme de vase des vaisseaux-coquilles. Rhodan se déclare prêt à laisser Gorukule aux rebelles. Les membres d’équipage du FONDATION participent aussi à l’action du Topar dans le système de Zaz. Les œufs emportés par Legreldi se transforment en robots de combat et permettent la conquête rapide de Prizza.
 


© Michel Vannereux