12
TALIN ERWACHT
Talin s'éveille
 
Auteur : Uwe Anton
 
Année de parution : 2014
 

Eritrea Kush survit à l’explosion d’Anthur grâce à son saren renforcé mais elle est terrassée par la maladie.

Varrim-Ga n’a toujours pas réussi à trouver un antidote. Sans en informer Perry Rhodan, il fait des expériences sur un Pseudo-Jaroc prisonnier et découvre dans son organisme des spores de tagaris. Cela lui permet de développer enfin un antidote.

Le Generex se lance lui-même à l’attaque d’Aveda. Son vaisseau, le Morka, quitte la planète Sepura II et se dirige vers le système d’Astrée avec une flotte de croiseurs-amibes. Il se pose tout près de la capitale, Astreopolis.

Le Generex exige la soumission de l’Humanité d’Astrée. Il exige aussi que Perry Rhodan se rende à lui. Rhodan accepte. Il prend avec lui des doses d’antidote, sachant que le Generex s’est infecté lui-même jadis, de même que son vaisseau. Une fois dans le Morka, le Terrien libère l’antidote avec l’aide de Posimon. Posimon s’entretient avec Sirio, la positronique du vaisseau. Elle le laisse faire car elle obéit à une programmation de Las Quar lui-même qui lui avait dit de le tuer s’il perdait un jour la raison. Quand le Generex s’en aperçoit, il est trop tard. Il meurt avec le vaisseau.

D’innombrables howalacis sont absorbés par des Tisseurs qui se jettent sur les vaisseaux-amibes, les faisant tous disparaître. Posimon fait ses adieux à Perry Rhodan, il veut retourner sur Marhannu. Eritrea Kush est traitée avec l’antidote et se rétablit. Curieusement, elle se sent même plus jeune.

Timber F. Whistler et Kerat Tinga apparaissent peu après et il s’avère que le Jaranoc est en fait un avatar de la superintelligence Talin. Il explique que les Tisseurs ont transformé les vaisseaux-amibes en spores de vie pour repeupler l’amas autrefois dévasté par le virus du Generex. Après avoir affirmé qu’il est différent de l’Immortel et qu’il ne considère par les Terraniens comme son peuple préféré, il disparaît avec Whistler.

Le 30 juin 1513 N.D.G., Perry Rhodan repart pour la Voie Lactée.
 


© Michel Vannereux