Perry Rhodan a remis les usines de robots de la base de Vénus en marche. Il reçoit alors un appel de détresse de la Terre. John Marshall lui apprend la détection de vaisseaux ovoïdes, sans doute des Voleurs d’Âmes. De plus, certains humains semblent en leur pouvoir, dont un certain Clive Cannon. Rhodan cingle vers la Terre avec la Bonne Espérance et trois chasseurs. Ils détruisent les deux vaisseaux vams détectés mais laissent un canot s’échapper sur la Lune tout en y envoyant des robots pour l’observer.

Rhodan revient au désert de Gobi. Il y apprend que trois cents cas de possession sont identifiés. La nouvelle du retour des Vams plonge le monde dans la panique. Rhodan ordonne des patrouilles avec les chasseurs et demande à Allan D. Mercant cinq cents hommes en renfort. Reginald Bull et Marshall se rendent à Chicago pour ramener Cannon. Marshall obtient un entretien avec Cannon qui cherche un moyen de se rendre au Gobi. Cannon se trahit et Marshall le piège en lui faisant miroiter un poste à la Troisième Force.

Cannon transporte au Gobi son corps vam dans ses bagages. Il prétend que c’est un cadeau pour Rhodan et celui-ci reçoit Cannon. À New York, beaucoup de postes hauts placés sont occupés par les envahisseurs. Bull arrive et constate l’invasion mais ne peut prévenir Rhodan, la radio étant inopérante. Il tente alors de s’échapper avec une armure arkonide.

Rhodan démasque Cannon et lui propose un marché.

Mercant rejoint la base de Gobi avec plus de trois cents hommes. Rhodan révèle alors le prototype de détecteur de Vam mis au point grâce au cerveau positronique. L’appareil filtre l’entrée des hommes de Mercant et repère un autre Vam. Le 29 juillet 1972, les chasseurs décollent pour libérer New York. Bull intervient lui sur la Lune : trois Vams meurent et plus de cinq cents corps sont capturés. Au total, sept cent trente-deux corps sont détenus sur la base de Gobi. Les Vams se rendent. New York est libérée. Début août 1972, Rhodan autorise les Vams à embarquer sur un de leurs vaisseaux resté autour de Mars et les contraint à ne jamais revenir.