FASCICULE PERRY RHODAN n° 2873
 
Das Atopische Fanal
Le Fanal Atopique
 
Auteur : Uwe Anton
Année de parution : septembre 2016
 

Matan Addaru Jabarim croit qu’il n’y a plus que depuis les Terres d’Outretemps qu’on peut encore agir sur GA-yomaad mais le 232-Colpcor, maintenant piloté par Yla, le fantôme positronique, ne peut y accéder. Pour en apprendre davantage sur l’Ekpurosis, Matan Addaru Jabarim décide de retirer le corps de Tafalla de Sol et d’allumer un Fanal Atopique.

L’évacuation du Système Solaire est fort avancée. Il ne reste que quelques Humains sur la Terre. Le commissaire Mato Cardweel veille à ce que tout le monde parte. Sa mission accomplie, il rejoint ses enfants pour partir à son tour.

Alors que les Tiuphores se rassemblent pour attaquer le Système Solaire, Matan Addaru apparaît. Il veut éloigner du Soleil le corps de la superintelligence Tafalla. Le Tribunal Atopique essaiera ensuite de fermer la déchirure temporelle. Perry Rhodan accepte de le laisser venir, mais seulement s’il ferme la perforation et chasse les Tiuphores avant.

Matan Addaru ne tient pas compte de cette exigence. Il traverse l’écran Terranova et parvient près du Soleil où il extrait le corps de Tafalla. Une onde de choc quintidimensionnelle parcourt le Système Solaire. Toute l’hypertechnologie cesse de fonctionner. L’écran Terranova s’effondre et le système de transmetteurs Backdoor utilisé pour évacuer la population cesse de fonctionner.

Cardweel quitte la Terre avec ses enfants à bord d’un yacht primitif. Une protubérance solaire les met en danger.

Yla, qui n’a plus l’apparence d’un reflet fragmenté, se manifeste et demande à ce que le 236-Colpcor avec qui le corps de Tafalla a fusionné puisse partir. Rhodan accepte. Le 236-Colpcor amène le yacht de Cardweel en sécurité puis part. On attend maintenant l’assaut des Tiuphores tandis que la perforation accélère.

Les Tiuphores du présent observent les événements avec intérêt. Paddkavu Yolloc décide d’intégrer dans le Catiuphat le corps de Tafalla qui a été revitalisé.

 


© Michel Vannereux