FASCICULE PERRY RHODAN n° 2096
 
Kraschyns Ultimatum
L'ultimatum de Kraschyn
 
Auteur : Arndt Ellmer
Année de parution : 2001
 

Sur l’ordre de SOURCE D’ÂME, les Bleus ont massé une puissante flotte près de Morbienne III, la planète du fluut. Des Bleus appartenant à l’O.M.U. apparaissent soudain sur le poste de commandement de la nef amirale et tirent sur l’amiral Ziiyani avec du fluide isopsi. Il est libéré de l’influence de la Superintelligence. Le même procédé a lieu sur de nombreux mondes habités par des Bleus et l’Est galactique est arraché à l’emprise de SOURCE D’ÂME.

Par contre, sur Terre, le mascant Kraschyn augmente sa pression et pose un ultimatum à Bull. Il réclame la reddition de toute la flotte terranienne sinon il commencera à exécuter cinquante mille otages par jour.

Une attaque des Arkonides dans le Système Solaire entraînant obligatoirement un bain de sang, et ne pouvant empêcher le meurtre des otages déjà rassemblés dans le stade Magellan, Reginald Bull a une décision difficile à prendre. Le chef du S.L.T. Noviel Residor et Roi Danton comprennent que le temps de la défense passive est révolu. Il n’existe qu’une solution : mettre hors de combat le mascant Kraschyn, main de SOURCE D’ÂME et gouverneur de la Terre. À bord de l’Aumokjon, la nef amirale de Kraschyn, se trouve trois « taupes », des Kralasènes fidèles à Bostich. Avec leur aide, Roi Danton parvient à introduire un commando à bord. L’Émir en fait partie mais il est immédiatement mis hors de combat par un couineur arkonide. Leur rôle est de désactiver l’écran paratronique pour permettre l’envoi de robots de combat. Comme Kraschyn se concentre sur la livraison de la flotte terranienne, le plan réussit. Le groupe de Danton s’introduit dans la cabine de l’Arkonide mais Kraschyn prend la fuite à temps par transmetteur et trouve refuge sur le croiseur lourd Voner. Il donne l’ordre de détruire l’Aumokjon mais les officiers refusent et le capturent.

Une autre flotte apparaît dans le Système Solaire, l’Ark’Imperion, la flotte de Bostich.

La Terre est de nouveau libre.
 


© Michel Vannereux