cycle 27 : Les Tolkandiens
FASCICULE PERRY RHODAN n° 1824
 
Zentrum der Zentrifaal
Le centre des Zentrifaals
 
Auteur : Hubert Haensel
Année de parution : 1996
 

Sur Zentrifaal-Centre, la cinquième planète de la géante bleue Zentriff, Caliform est accueilli avec enthousiasme par vingt mille de ses adeptes le 30 décembre 1288. A-Betschaga, le chef du gouvernement, n’est pas arrivé à détruire son organisation, la Gedeonta, durant les années d’absence du rebelle. Le groupe de Caliform tient son nom du chef de guerre A-Gedeonta qui mena les Zentrifaals au combat pour la dernière fois il y a mille ans, bataille qui provoqua la pacification des Galorns. Perry Rhodan et Reginald Bull sentent que la paix n’est pas maintenue par conviction mais par peur des Galorns. La flotte de guerre de l’empire zentrifaal composé de vingt planètes comprend 2200 unités. Ce sont les vaisseaux les plus puissants après ceux des Galorns. Alors qu’ils évitent la violence réelle, les Zentrifaals vivent dans des réalités virtuelles des situations cruelles soigneusement composées par des oniroconcepteurs.

Le glisseur avec lequel les deux Terraniens volent vers la capitale Cursor est attaqué par un projectile à tête chercheuse mais l’habilité de Rhodan fait échouer l’attentat. Caliform est persuadé que les Galorns ne sont plus une menace après mille ans. Il hésite toutefois à lancer une révolte, étant encore sans clan. Les clans zentrifaals qui se forment par cooptation se composent toujours de dix hommes et six femmes. Le percepteur T-Legiaw, un homme de Caliform, apprend qu’un traître doit tuer son chef. Gravement blessé, il arrive trop tard pour prévenir Caliform mais Rhodan et Bull empêchent l’attentat au dernier moment. Caliform les emmène dans sa nouvelle cachette, le centre de simulation Logos et leur donne des précieuses armures zentrifaals. Des éruptions de violence se produisent partout. Quand A-Caliform a formé son nouveau clan le 19 janvier, les deux Terraniens décident de parler à A-Betschaga de la révolte imminente pour empêcher un bain de sang. Sur la route du siège du gouvernement ils sont attaqués et assommés par des hommes en uniforme.
 


© Michel Vannereux