cycle 42 : Mythes
FASCICULE PERRY RHODAN n° 3058
 
Für Galaktiker verboten!
Interdit aux Galactes !
 
Auteur : Wim Vandemaan
Année de parution : 2020
 

Le 27 avril 2046 NDG, le Bioposi Ganud et la Construction-Zain Bonthern rejoignent la flotte d’Atlan près de la Sphère de Plomb. Bonthern vient mettre une flotte à sa disposition, et Ganud est là pour relater l‘expédition ratée de Vetris-Molaud vers Andromède en 1638 NDG.

Dans les décennies suivant l’Incendie cosmique, les contacts entre la Voie Lactée et Andromède se font de plus en plus rares. Tous les transmetteurs stellaires cessent de fonctionner. Vetris-Molaud décide d’aller en personne voir ce qui se passe. Il part avec le croiseur Scimor.

Après trois mois de voyage, le vol est interrompu à 280 000 années-lumière d’Andromède pour des raisons inconnues. À proximité se trouve la station Yeddven, une ancienne gare spatiale des Maahks. Le Scimor est escorté par des croiseurs jusqu’à la station. Le commandant, Gota-Thao, explique que la Stabilité, une union des peuples, a placé la Voie Lactée sous quarantaine.

Vetris Molaud passe une nuit avec Ousha Rikmoon, l’assistante du commandant. Elle lui fait comprendre qu’il y a des opposants à la Stabilité, qui apprécieraient l‘aide de Vetris-Molaud dans un putsch. Le lendemain, Vetris-Molaud et Ganud sont attaqués par un être non humanoïde. Il s’agit d’un Audh, un peuple inconnu dans Andromède. Vetris-Molaud est gravement blessé.

Le 24 novembre arrive Aureni-Tarat, la conseillère du Virth, le maître des Téfrodiens. Les Téfrodiens ont coupé la chaîne de transmetteurs solaires car des valeurs anormales du champ hyperdimensionnel généré par tout astre ont été détectées dans la Voie Lactée. Pour éviter toute contamination, Yeddven et le Scimor doivent être détruits.

Ousha Rikmoon blesse grièvement Aureni-Tarat et permet au Scimor de prendre la fuite. Quand Vetris-Molaud lui demande où il peut la trouver, elle lui dit de demander à Soynte Abil.

Atlan sait que Soynte Abil était un Maître Insulaire, le premier Faktor VII.
 


© Michel Vannereux