cycle 41 : Genesis
FASCICULE PERRY RHODAN n° 2924
 
Das Rätsel des Sprosses
Le mystère de la pousse
 
Auteur : Michelle Stern
Année de parution : 2017
 

Les Gatrax, les humanoïdes velus habitants originel de la planète Damona, suivent un appel de la pousse Yeto et s’y dirigent. Seul Pellexer n’est pas affecté. Il entre en contact avec les autorités terraniennes. On lui confie un enregistreur et un élément du sextant Kantor miniaturisé. Ainsi équipé, il se rend dans la pousse.

Reginald Bull négocie avec Bhal Haddhunis dans la crypte de libration, le cœur de la pousse. Il y a là un objet en forme de double entonnoir que Toio perçoit comme un objet dangereux. Bull demande cinq activateurs cellulaires en change du sien, mais Bhal Haddhunis n’en propose que trois. Il ne sait rien des Chaotarques ou d’entités plus évoluées que les superintelligences.

Bull demande un activateur cellulaire des Gemeni pour tester ses facultés. Haddhunis doit réfléchir à la question. Bull et Toio prennent contact avec l’équipe de Maiwenn Parillaud. Ils portent tous un activateur cellulaire et semblent avoir changé. La famille Carell, comme d’autres porteurs d’activateurs cellulaires, ont quitté le vaisseau avant l’arrivée dans le système de Vindonnus.

Bhal Haddhunis remet à Bull un activateur cellulaire de test à condition qu’il reste dans la pousse. A l’aide du sextant Kantor remonté, Bull détermine que la pousse n’a pas grandi de façon organique, mais que des éléments et des matériaux ont été récupérés depuis un dépôt dans la zone Dakkar. La graine trouvé par Yeto Carell est identique à la source-psi, le double entonnoir dans la crypte de libration. Il est qualifié de recollecteur. Bull pense qu’avec un sextant Kantor modifié, il devrait être possible de refléter des impulsions Dakkar et ainsi de perturber la liaison entre le recollecteur et le dépôt. Un test a lieu avec un dakkarcom sur une Gazelle.

Lors de l’activation, Yeto se sent menacée. La pousse se téléporte et anéantit la Gazelle. Peu après, Bull apprend que Bostich a attaqué la pousse Kylldin.

 


© Michel Vannereux