cycle 36 : Astrée
FASCICULE PERRY RHODAN n° 2571
 
Die Zeitlose Welt
Le monde intemporel
 
Auteur : Wim Vandemaan
Année de parution : 2010
 

Les Nishaï, des êtres intelligents qui ressemblent à des plantes, considèrent la planète Raqia comme leur patrie. Ils ignorent qu’ils vivent sur le monde intemporel des Essa Nur. Ceux-ci y déposent depuis des millions d’années des cristaux dans lesquels sont enregistrés leurs souvenirs. Les Nishaï Aghinjan et Minsguj s’aventurent dans l’une des plaines de cristal considérées comme hantées et assistent à l’atterrissage d’un vaisseau spatial. Un être en descend, Clun’stal.

Celui-ci est à la recherche de ses souvenirs perdus. Quand il pose le pied sur la planète, l’Essa Nur Udkigom prend contact avec lui et l’aide à prendre connaissance des souvenirs stockés dans les cristaux. Le premier cristal que Clun’stal touche contient la mémoire de l’Essa Nur Bhugaddem. Il revit des scènes du passé, quand les Essa Nur refusèrent de collaborer avec l’Alliance Tryonique car ceux-ci utilisaient des armes. Les Essa Nur considèrent toute forme de violence comme illogique.

Un autre cristal projette Clun’stal plus loin dans le passé. Ce sont en fait ses propres souvenirs. Avec son fils Ghos’fajer, il travaillait à la construction de TALIN ANTHURESTA. Ils se rendent sur le monde-disque 2861 où des perturbations ont été signalées. Des étrangers qui se font appeler les Égaux espionnent la technologie de TALIN ANTHURESTA. Les deux Esnur sont capturés et amenés sur la planète des étrangers. Ils réussissent à s’évader et dans l’opération, Ghos’fajer est tué.

Un dernier cristal contient les plus anciens souvenirs enregistrés. Ce sont de nouveaux ceux de Clun’stal et il revit le moment de sa création, il y a dix millions d’années. Ses créateurs sont les Anthurians Fogudare et Tanfacher. Ils voulaient créer des machines intelligentes pour les aider à comprendre le monde mais le résultat – Clun’stal – s’est révélé doté d’une vie réelle.

Clun’stal veut maintenant poursuivre son voyage pour retrouver le reste de ses souvenirs perdus.

 


© Michel Vannereux